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La visite a duré quelques minutes en tout... point n'est besoin de refroidir le couvain.


De retour du saule marsault.


"Un pays de lait et de miel".


Gênées par les réserves de miel...




Bon, là on est carrément dans le reportage photo.

Pour les ruches basses, j'utilise un tabouret, le dos bien droit je peux ainsi faire une visite de printemps sans peiner. Pour ceux qui préfèrent courber l'échine : rendez-vous dans 30 ans pour une IRM.


Quelques coups de fumée à l'entrée.












La reine ne se balade pas sur le couvre-cadre ? Au besoin, je la remets dans sa ruche.
Je place le couvre-cadre à la verticale devant la colonie.













Je retire le "nourrisseur double-cadre", ce qui me dégage de la place. Les ruches sont pourvues de 10 cadres et d'un "nourrisseur double-cadre".














Je commence à retirer les cadres en les inspectant. Je les repositionne en les déportant sur le bord de la ruche, dans l'espace ainsi libéré.













Retrait d'un vieux cadre, observation du couvain, des pathologies potentielles, des réserves de provisions... Ici cette colonie se trouve exsangue, elle a épuisé ses réserves de miel et il est plus que temps que les saules fleurissent...














Selon les préconisations du GDS de la Vendée, deux cadres gaufrés viennent en lieu et place de vieilles cires.
















Le nourrisseur cadre est replacé sur le côté.














On remet en place le couvre-cadres, on porte les annotations éventuelles.
















En quelques minutes la ruche retrouve son calme ou son activité, c'est selon les points de vue...














Le meilleur moment pour réaliser la visite de printemps : dès les premiers beaux jours du mois de mars, lorsque les butineuses rentrent du pollen en masse.

















Le saule marsault signe véritablement la fin de la trêve hivernale.
Avec les apports de nectar et de pollen, les colonies entament un nouveau cycle.














Ici, une colonie pas si vilaine mais qui peine à développer son couvain, gênée qu'elle se trouve par la présence de miel cristallisé qui la limite dans sa capacité de développement. Il suffira de gratter au lève-cadres les opercules de miel qui se trouvent en bordure du couvain, les choses vont rentrer dans l'ordre.















Nous travaillons avec du vivant, ce qui signifie entre autres que les colonies ne sont pas toutes homogènes. On observe des différences d'hivernage très importantes entre les ruchers.

Au dix mars, voilà un cadre de couvain parfait pour une colonie d'abeilles noires. On voit bien les "cercles" concentriques excentrés qui correspondent au développement de ponte de la reine.













A la même date cette autre colonie se lance dans l'élevage des mâles (en bas à gauche), de l'ambition, toujours de l'ambition, cela pourrait bien nous conduire vers un essaimage. Enfin, il vaut mieux une belle colonie qui prospère plutôt qu'une rachitique qui  périclite !








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